Mon journal de confinement se livre page après page, dans le désordre... en même temps que les réflexions que me suggère la période étrange que nous vivons depuis quelques mois, celle du confinement-déconfinement.
Une des difficultés posée par le confinement a été, en particulier, d'organiser le maintien d'une activité professionnelle minimale. Si certaines activités, dans certains secteurs, se sont très bien débrouillées à distance ou ont pu mettre leur quotidien entre parenthèse sans risquer la faillite, il n'en a pas été de même pour tous ; toutes les activités professionnelles ne sont malheureusement pas envisageables en télétravail, surtout lorsque celui-ci n'a pas été pensé bien en amont avant, ou si la raison d'être et de fonctionner des activités en question réside dans leurs (inter)relations avec les publics, quels qu'ils soient.
La question se posa différemment selon son type de contrat... Par exemple, grand fut le désappointement pour celles et ceux qui devaient justement commencer un nouveau travail pour lequel une formation longue et en présentiel était d'abord requise. Itou pour celles et ceux qui avaient postulé à un emploi et qui se sont retrouvés empêchés d'aller plus avant dans leur projet, le risque d'une nouvelle vague épidémique n'ayant pas été complètement écarté, ou simplement, l'assurance d'un risque proche de zéro à reprendre le cours d'une vie normale n'ayant pas été garantie.
Pour ma part, la situation de confinement a précipité ma réflexion sur le format professionnel le plus apte à compenser un manque éventuel ou un dysfonctionnement et à répondre à une situation d'empêchement mobile durable ou exceptionnel. Mon déconfinement se préoccupe toujours activement de cette question.
La question se posa différemment selon son type de contrat... Par exemple, grand fut le désappointement pour celles et ceux qui devaient justement commencer un nouveau travail pour lequel une formation longue et en présentiel était d'abord requise. Itou pour celles et ceux qui avaient postulé à un emploi et qui se sont retrouvés empêchés d'aller plus avant dans leur projet, le risque d'une nouvelle vague épidémique n'ayant pas été complètement écarté, ou simplement, l'assurance d'un risque proche de zéro à reprendre le cours d'une vie normale n'ayant pas été garantie.
Pour ma part, la situation de confinement a précipité ma réflexion sur le format professionnel le plus apte à compenser un manque éventuel ou un dysfonctionnement et à répondre à une situation d'empêchement mobile durable ou exceptionnel. Mon déconfinement se préoccupe toujours activement de cette question.
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4 - De la grâce (Une Fée au Crayon et au Feutre)
Jour 8 (24/ 03/ 2020) : il y a des matins où je me lève avec plein d'idées et de bonne humeur ; curieusement, ça ne dure pas. Très vite, je suis de mauvaise humeur ; le moindre truc qui cloche m'attriste et m'énerve. Comme je suis têtue, j'insiste. Résultat : c'est pire !
© clémentine de chabaneix (modèle de fée) © ema dée
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